Soumis aux pressions de ses pairs européens, qui refusent le verdict populaire, Papandréou a du renoncer à son projet de référendum. En prime il quitte le pouvoir au profit d'une coalition d'union nationale (en fait les parties de gouvernement de droite et de gauche).
L’Europe soupire lâchement croyant avoir réglé la crise grecque en faisant entrer au gouvernement le partie qui a truqué les comptes présentés à l'Europe. Il est vrai que le nouveau président de la BCE est l'ancien co-responsable du trucage des comptes grecs du temps où il travaillait chez Goldman Sachs !
Tout est donc en place pour que l'agonie grecque continue en 2012, les responsables politiques étant incompétents et les forces du redressement grec trop faible pour mobiliser les citoyens sur la sauvegarde de l'intérêt général.
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